[Successeur d'Hidan] Sakki

Mot de passe [1] & [2] : Feuille & Feu

Prénom : inconnu ; a décider de se faire appeler Sakki.

Nom : inconnu

Age : inconnu

Successeur du ninja : Hidan

Village souhaité : Akatsuki

Affinités souhaitées : Fuuton

Description physique et mentale : Assoiffé de sang, c'est là la signification du nom que cet orphelin rejeté par tous s'est choisi, un nom qui en dit long sur ce qu'il aime, ce qu'il désir, mais surtout sur ce qu'il est : un monstre. Derrière une apparence froide et singulière, un visage émacié aux traits droit et au teint d'une pâleur cadavérique, encadré par des cheveux blancs comme neige, tombant en cascade sur de robustes épaules, piliers de se corps fin et élancé dont les quelques muscles saillant font figure d'unique relief ; derrière cette apparence héritée d'un enfer vécu sur terre, se tapit tout ce qui rebute l'humanité. Ainsi possédant les caractéristique physique élémentaires de l'être humain, mais n'ayant jamais rien connu de ce qui rend humain ceux qui se réclame comme tel, Sakki ne ressent jamais d'émotion perceptible, et se situe à des années lumières de comprendre leur importance pour les autres. Et sans qu'il sâche pourquoi, lui qui ne fait pas la différence entre le rêve et la réalité a vu ses cauchemars nocturnes envahir ses journées, les teindres de la couleur écarlate du sang, imprégner sa vie de violentes psychoses. Comme toute personne vivant à l'écart de la société il a développé des moeurs marginales, en particulier pour se nourrir, profanant les tombes à la recherche de morts fraîchement enterrés, laissant libre court à sa folie nécrophagique, et en subissant toute les conséquences physiologiques tel l'odeur putride caractéristique d'anthropohage l'accompagnant constamment. A l'instar de ses yeux à la couleur indéfinissable, se drapant des couleurs qui s'y reflètent comme des mirroirs, et qui semble êtres envahis par le néant, plongés dans la gorge du vide, son âme, ou abscence d'âme est à l'identique : vide, victime d'anosognosie ne cherchant pas à comprendre ce qui lui arrive, laissant le temps passer et la vie le ronger peu à peu.
Mais ayant hérité, plus par engeance diabolique que par le sang, d'un corps immortel semblable à celui d'un tristement célèbre prêtre de Jashin, encore une fois le chemin de la douleur à mené à la foi aveugle en un dieu, dont le seul but est l'annihilation de toute vie, tout ramener au chaos originel, plus prolifique que tout ce qui en est sortit. Cette croyance est matérialisée par un chapelet ornée d'un triangle équilatéral inscrit dans un cercle, qui teinte agréablement à l'oreille, comme une clochette, tandis qu'en marchant, Sakki récite des prières chaotiques. Trouvant un réconfort dans une religion affabulatrice dont la cruauté n'a d'égal que les objectifs dérisoires, Sakki accompli ainsi docilement toutes les tâches commanditées par Jashin-sama, espérant enfin trouver le salut dans la mort qu'il ne peut se donner par aucun moyen en sa possession.

Histoire : [Mon personnage ne connaissant à priori rien de lui, je fais une histoire plutôt évenementielle, j'espère que ça ira ^^'] L’aurore qui se profilait à l’horizon, vêtue d’une robe rose pâle magnifiquement assortie aux couleurs rousses de l’automne, perçait dans sa course au zénith chacun des nuages d’airain dans le ciel, les teintants de reflets dorés qui se mêlant à la fraîcheur saisonnière, leur donnait l’apparence de larmes enfantines, à la fois fragiles et merveilleuses, mais qui toujours amènes la peine dans les cœurs. Peut-être est-ce l’absence de telles larmes dans les yeux du petit garçon, immobile sur la place du village alors qu’il est assailli de pierres, qui chasse du cœur des hommes toute compassion pour lui. Telle une flèche érigée vers les cieux ; couvert de bleus et de sang, il supporte sans la moindre réaction la lapidation dont il fait l’objet, comme si l’incompréhension née de cette situation l’aidait à transcender cette douleur. Tandis que la pluie de pierre semble se calmer, plutôt du fait de la lassitude grondante que du manque de munitions, la silhouette gracile plus meurtrit par la froideur des regards que par le tranchant des pierres, demeure immobile, dans ses yeux morts en lesquelles sembles s’ouvrir la gorge du vide, ne se reflète rien, exactement ce qu’il ressent, autour de ses orbites la marque des larmes s’aperçoit encore, mais elles semblent s'êtres taris, noyés dans le sang. Ainsi bien après avoir reçue la dernière pierre, bien après que l’écho des dernières insultes se soit tu, bien après que le vent qui jouait dans les vêtements en haillon s’en soit aller, le petit garçon partit à sa suite, sans avoir à chasser le tragique de la scène de ses pensées, comme si jamais la scène tant de fois répétée ne s’était produite.
Les pieds nus d’une blancheur cadavérique qui foulent le sentier caillouteux qui serpente entre les tombes semblent crier de douleur, leur plainte participant à un chœur entonné par tout le corps meurtrit de l'enfant, résonnant dans un silence mortuaire en une complainte macabre qui ravit sans mal leur titre aux bêtes sauvages de l’enfer infiniment moins torturées. Seulement son auteur n’y prête aucune attention, à quoi bon se préoccuper de la douleur quand celle-ci ne peut nous tuer ? Se préoccuper de la faim quand celle-ci ne peut nous atteindre ? à rien… Alors à quoi bon vivre quand tout n’est que tristesse et souffrance ? Cette question est l’apanage de ceux qui en ont le choix, tout le contraire de cet enfant.
La pluie, qui ruisselle et emporte avec elle tout ce qui se trouve sur son passage, tombe en grosses perles grises en ces heures fraîches, comme la rosée qui doucement s’échappe de la feuille. Bravant l’épaisse pluie qui avec doléance s’écrasait contre le sol humide, se déversant dans d’énormes flaques trop lisses pour y voir un reflet ; une silhouette aux contours indistincts se découpait sur cette terre morte, le rideau de brume s’écartant sur son passage comme dans une révérence. Autour de son cou un pendantif anodin brille, un trinagle, représentant la perfection, enfermé dans un cercle figurant l'univers, un symbole personnifant la destruction, une peur nommée Jashin. Ses vêtements noirs de sang, à présent trempés par la pluie semblait dégagée un parfum de rêve, comme si le goût sucré d’une friandise envahissait chacune des larmes du ciel. Hélas, le rêve n'était qu'un manteau d'apparat pour l'horrible cauchemard qu'est la vie sur cette terre à tout ceux privés d'espoir ; auquel n'existait aucun remède ni aucun espoir salvateur, seulement quelques larmes pour reprendre courage, pour se libérer de sa peine comme les cieux versaient librement quelques larmes de pluies, il en allai de même pour tous ceux qui souffre par delà le monde, mais pas pour lui, celui dont les larmes n’ont que trop coulées, il, reste prisonnière de sa tristesse tandis que celle des autres s’enfuit, comme les nuages chassées par l’éclaircit.
Les ténèbres se rassemblent autour de la pointe du clocher, tandis que le voile funèbre des nuages couvre la lune et par la même le terrible rituel aux allures de mascarade infernale qui prend place au pied du sombre bâtiment, au cœur du cimetière. Au milieu des monuments de marbre sertit, une odeur infâme se dresse là où une tombe blanche comme neige trône, la dalle qui la couvrait dispersé en éclats sur le sol tapissé d’herbes douces. Le lumignon des arbres laisse apercevoir le petit garçon, penché sur une carcasse maculée de sang, dont aucune goutte ne semble s'échapper du piège de carmin de ses lèvres. Le murmure du vent dans ces mêmes arbres couvre chacun des bruits du festin nocturne, comme pour préserver tout âme qui vit de cet acte contre-nature. De toutes façons au-delà des apparences qui ce souci de tout ceci ? Les morts sont mort, nul besoin de vêtement ni même de corps, si ceux-ci peuvent servir à quelqu’un d’autre, grand bien leur en fasse. Mieux vaut laisser tranquille les vivants et malmenés les morts, au moins eux ne sont pas pourris par la rancune.
Dans le ciel épuré semblait se dessiner les mêmes remous que dans le bleu mystérieux du lac, à la fois profond et inaccessible. Sur ses rives de sable blanc, les voix fusaient de toutes parts et les sons se mêlaient les uns aux autres avec disharmonie, l’agitation régnait toujours là où se concentre la vie ; plus que les mots, ce que les yeux mornes et vides du petit garçon cherchent à capturer ici ce sont les sentiments. Seulement toutes ses émotions bien réelles qui jouent devant lui sont inaccessibles, comme les reflets à la surface du lac, imperceptible. Tous ceci il peut l’observer, mais pas y goûter, c’est l’apanage des humains, pas de ceux qui n’en ont plus que le corps, ou qui n’en ont jamais eu l’âme, pas de ceux qui comme lui sont mis au ban. Mais il est temps pour lui de quitter son banc, il ne s’y est déjà que trop accroché, le temps de l'ordalie est désormais révolu, celui de faire retentir le nom de Jashin-sama à travers tout l'univers approche !

Au travers d’une nuit semblable à un éternel rêve délabré, déformée par une violente tempête, où les éléments déchaînés se liaient et se déliaient inlassablement dans une valse aussi belle et terrible que la pluie fine qui, bercé par le mugissement du vent s’abattait contre le village de la pluie, faisait oraison d'éloge à son nom. La tempête qui semblait envelopper le village comme pour le purifier, le purger de toutes la souillure qui s’y accrochait ; afin que celui-ci soit fin prêt à accueillir la nouvelle vie qui d’ici peu lui ferait l’honneur de sa présence. Dans ce climat de tempête apocalyptique qui, balayant l’air malsain, pavait le ciel d’éclair et le sol de pluie, une silhouette ployé par la brise se découpait contre le relief du paysage, celle d'un enfant à la crinière blanche, tout droit sorti d'un abîme de torture et de désespoir. Lorsque les pas de l'enfant l'eurent menés au portes rocailleuses d'Amegakure, battus par la pluie et les vents, la tempête sembla se calmer un instant, mais lorsque son regard de dément vint se porter sur le village qui s'ouvrait à lui, la pluie redoubla d’intensité, transperçant tout sur son passage comme autant de lames affûtés ; Quand sa voix s'éleva interrogeant le gardien, le tonnerre lui fit écho, illuminant le ciel comme en plein jour. Et quand à nouveau il reprit son chemin se dirigeant vers l'embrasure des imposantes portes, les vents convergèrent en un point, pour exploser en un titanesque cyclone, dont le mugissement ressemblait aux cris de toutes les bêtes sauvages de l’enfer. Puis peu à peu, tandis que le petit garçon progressait vers le coeur du village où devait avoir lieu un examen ninja , la tempête s’évanouit comme si elle apréhendait l’approche des premiers rayons lumineux de l’aube, qui ce faisaient antidote à ses heures sombres.
Lorsqu'il arriva enfin sur la place centrale du village, où d'inombrables jeunes Shinobis bouillant d'exitation attendait l'occasion de faire leur preuve, Sakki laissa son regard morne vagabonder, observant le paysage infiniment minéral, fait de grandes tours toutes couvertes d'antennes, architecture inhabituelle et opressante aux vus des reflets sombre dans le ciel. La pluie n'avait de cesse de tomber, emportant avec elle le sang et les âmes des quelques ninjas mort au combat, ceux pour qui la vie de Shinobi n'avait pas été le bon choix, si choix il y avait eu. Discètement, l'albinos entra dans le rang des aspirants en attente de combattre, de prouver leur valeur ; se fondant dans la masse grouillante et bruyante du mieux qu'il pouvait, priant pour que personne ne s'interroge sur sa présence ici. Le temps passait, et aux côtés des ninjas victorieux, maintenant promus, se tenait ceux qui apréhendais encore leur combat à mort, qui d'ici peut, tous le savait, déciderait de leur avenir. Entre ses deux groupes d'enfant, si semblables et pourtant si différent, se dressait une montagne de cadavre, de vaincus, sort réservé à tout ceux qui ne serait pas digne du village de la pluie, l'odeur de chair qui s'en dégageait, bien qu'atténuée par les larmes du ciel, faisait vibrer Sakki, la faim le déchirait littéralement de l'intérieur, tandis que ses yeux contemplait tout ses doux morceau de viandes fraîche exposés là, captivant toute son attention tandis que sous ses yeux une mise à mort dès plus violente prenait place, spectacle auxquelles plusieurs adultes et enfants, femmes et hommes assistaient completement indifférent à la cruauté et au sadisme dont pouvait faire preuve de si jeunes enfants.
Les lèvres plus trempés par la salive que par la pluie, contemplant une petite fille, peut être agée de quelques années de plus que lui, se faire mettre en pièce par une lame acérée, son sang et ses tripes se répandant alégrement sur le sol tandis que ses poumons perforés cherchaient à prendre un dernier souffle, peut-être pour invoquer une pitié qui visiblement n'était pas de ce monde. Envahis par les pulsions cannibales qui sommeillaient en lui, Sakki voulu tendre la main, pour arracher un morceau de la chaire tendre qu'il voyait souffrir devant lui, mais il sentit alors quelque chose le tirer violement en arrière, le projeter avec force sur la scène, la où avec du sang frais avait été tracé un cercle dans lequel prenait place les combats, et duquel on ne pouvait sortir qu'une fois l'adversaire mort.

« En voilà un qui s'apprétait à partir... mon dieu il put c'est une infection !!! »

S'écrasant pathétiquement sur le sol glissant fait de pierres dures teintés du rouge amarante de la mort, le petit garçon releva la tête, douloureuse, pour apercevoir l'enfant qui lui faisait face, son adversaire, celui qui autant si ce n'est plus que lui, avait entre les mains son avenir.
Se relevant rapidement et adoptant une position semblable à celle de son adversaire, Sakki le détailla à loisir, observant sa carrure imposante pour un enfant de cet age, son visage androgyne et sûr de lui, ses yeux en lames de razoires brillant d'un éclat bleu-gris, ses cheveux noir comme le jais, court et malmenés par la pluie et le vent déchaînés ; et surtout le long poignard dont la lame semblait onduler comme une vipère, prête à mordre et à déverser son terrible poison meurtrier. Le temps semblait suspendre son vol pour donner plus d'intensité à la scène, les mouvements rapides de la lame dans les airs témoignant d'une réelle déxtérité, d'une habileté naturelle à tuer. Après ce qui sembla être un ton infiniment long, les deux enfants se jetèrent en avant de toutes leurs maigres force déployés pour l'occasion, sans autre arme que son corps maudit par la vie et lui-même, Sakki balança son poing en avant visant le visage tendu de son adversaire, qui avec une facilité déconcertante esquiva, passant adroitement dans le dos de l'enfant maudit, tout en lui assénant un violent coup de pied dans les côtes. Soulevés par le choc, Sakki battit vainement des bras en l'air, espérant retrouver un semblant d'équilibre, c'est alors qu'il sentit quelque chose de long, de froid, qui ne demandait qu'à s'enfoncer plus profondément, déchirer sa chaire au milieu de son dos, briser avec force quelques côtes déjà violement atteintes.

« Crèèève !!! »

C'est ce que Sakki entedit tandis qu'il s'écrasait lourdement au sol, voyant l'ombre de son adversaire lui passer par dessus, tentant de lui porter un ultime coup de poignard. Comme rappelé à l'ordre par la douleur qui l'assaillait de toute part, l'enfant toujours à terre envoya un coup de pied à son adversaire, l'éjectant à son tour. Se relevant alors du mieux que son corps meurtrit le lui permettait, serrant fièrement dans son poing, son chapelet à la gloire de Jashin, Sakki se jeta sur son adversaire, attrapant la lame du poignard d'une main, répandant son sang à grande giclé sur le sol, tout en mordant plusieurs fois son adversaire au visage, se délectant des morceaux de chair arrachés et du sang chaud qui lui tapissait le gosier. Au mileu des cris inhumains, son adversaire trouva la force de le repousser par la force conjuguée de tous ses membres, Sakki s'éloigna alors de l'enfant mutilé qui cherchait désesperément son arme tout en évacuant le sang qui lui obscursissait la vue, lui laissant quelques instants de répit avant de le conduire aux portes de la mort, qu'il mit à profit pour tracer à l'aide du sang s'échappant de ses blessures, à même le sol un gigantesque triangle inscrit dans un cercle, symbolisant la perfection anihiliatrice de Jashin-sama et le carnage qui allait être fait en son nom. Tandis qu'il se plaçait au centre du cercle, invoquant le nom de son dieu, Sakki entendit plus qu'il ne vit son adversaire le charger à nouveau :

« Enfoiré ! Tu vas payer !!! »

Préparé à tenir le choc, le garçon se tenant au centre du cercle, dont l'apparence avait changée au court du rituel vaudou, réceptionna du mieux qu'il pu le corps de son opposant venant s'écraser contre le sien, lui plongeant son étrange lame en plein coeur. Soudain envahit par un extase sans nom ni précédent, Sakki sentit la lame pénétrer sa chair, transpercer son coeur, répandant des flots de sang, sur le sol, observant de son regard transporté par l'extase son adversaire dont le sang couvrait à présent la sombre tunique, laissant sa vie s'écouler hors de lui, comme des flots de sang. Risquant un dernier regard au visage mutilé de l'enfant aux portes de la mort, ternis par la souffrance et la peur, Sakki éclata de rire, et lança ses mots, s'adressant aux cieux :

« Jashin-sama !!! Je l'ai fait ! Reçois ce sacrifice, cette vie et ce sang son tien ! »

C'est alors que l'enfant lâcha son poignard et s'écroula, mort. Un arbitre accouru pour atester le décès surprenant. Prenant un peu de recul avec la scène, Sakki retira le poignard de son torse et le rangea dans les plis de sa tunique en haillon, maculée de sueur et de sang. Tandis qu'il récupérait son souffle, la murmure envahit la place bien silencieuse jusque là ; un adulte, la mine décomposée mais essayant tout de même d'afficher un sourire vint jusqu'à lui et déclara :

« Quel combat incroyable ! Qui est-tu ? D'où viens-tu ? »
« Je ne sais pas, je ne sais rien... Sakki, c'est mon nom. Je peux emporter le corps ? »
« Bien sûr, c'est ton trophé, la preuve que tu es un ninja... »

Puis avec un sourire on ne peut plus faux, l'homme s'éloigna visiblement incommodé par l'odeur ; avec un sourire bien réel, Sakki s'approcha du corps sans vie de celui qui fut son adversaire, et sous l'oeil éfarée de tous ceux qui assistaient à la scène, le chargea sur son dos et tourna le dos, s'enfonçant entre les gigantesques tours de béton du village comme seules les gouttelettes de pluie savent le faire. Tous s'écartaient sur son chemin, certains voulurent l'arrêter, mais de sa voix forte un responsable les rappela à l'ordre :

« Il faut parfois accepté que les monstres l'emporte sur l'homme. »



HRP : Désolé si j'ai un peu baclé la fin, je peux la refaire si vous le souhaitez ^^'

Tout d'abord, bienvenue sur Original Naruto! j'ai analysé assez ta fiche

- Agréable a lire, une belle écriture bravo.

Pour moi, je dis Juunin j'attends l'avis des autres.

Juunin à Ame m'ira tout à fait alors ^^