Ukime Hyuuga Déserteur de rang A
Nombre de messages : 22 Age : 34 Village : Akatsuki Nindo : Oter la vie à ceux qui ne la méritent pas... Date d'inscription : 05/04/2008
fiche tactique Ryos:
| Sujet: Présentation d'Ukime Sam 5 Avr - 3:03 | |
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Prénom: Ukime
Nom: Hyuuga
Age: 18 ans
Successeur du ninja: Hyuuga Hinata
Village souhaité: Akatsuki si possible sinon hum... Oto ou Kiri voir Ame
Affinités souhaitées: Suiton et Fuuton (Hyouton?)
Description physique et mentale: Niveau physique, Ukime est de taille moyenne. Elle a le teint plutôt pâle et les cheveux brun foncés. Elle a les yeux d’un blanc pur comme tous les Hyuuga. Au niveau vestimentaire, elle porte un mini-haut avec un col de couleur bleu nuit. Pour le bas, elle porte un pantacourt lui aussi de couleur bleu nuit, une mini-jupe par-dessus. Elle a des bandages sur ses avant bras. Elle porte toujours un petit couteau qui est symbolique pour elle. Niveau caractère, Ukime est plutôt difficile à cerner. Elle est froide et distante avec tout le monde. Elle n’aime pas la compagnie et préfère rester seule. Elle a l’air sans arrêt dans ses pensées, pour la plupart sanguinaires. Avec son enfance difficile, on comprend un peu mieux pourquoi elle n’aime pas la compagnie des humains. Côté combat, elle aime se battre. C’est un peu son échappatoire, ce qui lui permet de ne pas sombrer. Elle ne vit que pour elle, et ne comprend pas les autres gens qui vivent pour protéger des êtres chers. Etres chers ? Elle n’en a jamais connu. Peut-être à cause de son caractère antipathique… Qui sait… En tout cas, lors des combats, elle ne se laissera jamais faire, et elle donnera tout ce qu’elle a pour gagner. Elle n’hésitera pas à tuer non plus ses adversaires, car pour elle, les gens qui ne sont pas capable de la battre, ne sont pas dignes de vivre. Aucune expression n’a vu le jour sur son visage depuis bien des années. Elle est plutôt de nature à se renfermer sur elle-même et tout garder pour elle. Depuis bien longtemps, elle a au fond d’elle de nombreux souvenirs, tous plus douloureux les uns que les autres. Mais sans ses souvenirs, elle ne serait pas ce qu’elle est devenue aujourd’hui : une kunoichi « parfaite », capable de tuer de sang-froid quelqu’un. Elle est plutôt docile aux ordres, et fera tout ce que son supérieur lui ordonne de faire (sauf si c’est de ne pas tuer son adversaire, chose qu’elle ne peut pas faire).
Histoire: Un soir de grand froid… Une nuit en plein hiver… Konoha sous la neige… C’est cette nuit que je suis née. On m’a dit que j’étais quelqu’un de particulier, qu’on l’avait deviné dès ma naissance. Alors que tous les enfants qui naissent pleurent dès qu’ils voient la lumière, moi, je n’ai pas pleuré. On m’a dit que j’avais seulement ouvert les yeux, sans aucun bruit. Dès ma naissance, le goût de la mort était né en moi. Alors que j’ouvrais les yeux lentement pour le familiariser avec la lumière, je sentis qu’on me déposa plutôt violemment dans mon berceau. Des cris et des pleurs retentissaient autour de moi. On a dû me laisser un long moment seule sans qu’on s’occupe de moi… Je sentais déjà qu’on me haïssait, mais qu’avais-je fais ? Etais-ce un crime que de vouloir vivre ? Je n’ai su que bien plus tard qu’en naissant, j’avais commit mon premier meurtre : ma mère, Hinata Hyuuga, m’avait donné la vie en échange de la sienne. Mon père quant à lui, m’a renié dès ma naissance. J’avais tué la personne qui lui était le plus cher, et donc, il ne ressentait que de la haine pour moi. J’ai donc été envoyé juste après ma naissance dans une sorte de centre pour les orphelins. J’ai donc grandi là-bas. Les autres enfants ne m’ont jamais vraiment aimé, ni d’ailleurs les personnes qui s’occupait de moi. J’étais considérée comme un monstre ayant tué une des personnes les plus connues du village. En effet, le clan d’où je venais, le clan Hyuuga, est un des clans les plus connus et les plus puissants. Je n’ai jamais pleuré. Jamais. A quoi cela m’avancerait-il de pleurer ? Je me rappelais ce que m’avais dit mon père dans une lettre. Il avait su, rien qu’en me voyant naître que je n’étais qu’un monstre sans aucun sentiments, que personne n’aimerait et qui étais né pour tuer. Je ne savais pas ce qu’était un sentiment. J’avais tout enfuit dans mon cœur, ne laissant rien transparaitre. Les autres enfants ne m’ont jamais approché, ni même adressé la parole… Ah si, un jour une petite fille était venue me demandait pourquoi je ne pleurais jamais quand j’entendais les remarques des autres où quand je me faisais battre. Je me rappelle l’avoir juste regarder de mes yeux, qu’on dit d’un blanc pur, avec mon visage sans aucune expression. La petite fille s’était alors faite emmener par une dame du centre. Cette dame l’avait grondé, il ne fallait pas venir me parler, c’était trop dangereux. Je ne comprenais pourtant pas comment je pourrais être si dangereuse que ça… Je n’avais que 8 ans… Puis, un peu plus tard, une des dames du centre est venue me voir. Elle ne voulait plus me voir ici et elle voulait que je parte… Mais pour aller où ? A 10 ans donc, je me retrouvais, si on peut dire, à la rue. Je dormais dehors, m’abritant comme je pouvais quand il pleuvait. J’avais fini par trouver une petite cabane abandonnée. Je vivais donc dedans, ne sortant que pour aller voler un peu de nourriture. J’ai vécu comme ça pendant 3 ans. 3 longues années, seule, sans nourriture, sans boisson, sans lit… Mais cela m’importait peu. Déjà quand j’étais au centre, on me traitait pire qu’un chien. J’étais habituée… Malgré tout cela, j’avais réussit à vivre, ou plutôt survivre, durant ces 3 années. Je semblais avoir été oubliée de tous, mais peu m’importait. Un jour alors que je me promenais dans le village, j’entendis deux mères parler ensemble. Elles semblaient toutes les deux fières de leur enfant qui avait passé l’examen Genin avec brio. L’examen Genin… L’Académie… 2 choses qui m’étaient inconnues. Je retournai ensuite chez moi, le mot « Académie » résonnant dans ma tête. Que devais-je faire ? Aller à l’Académie pour avoir une chance de prouver de quoi j’étais capable et peut-être que mon père me reconnaisse à nouveau ? Ou rester dans mon coin, et continuer à vivre comme une mendiante ? Le choix était vite fait pour moi : j’allais faire mon entrée à l’Académie dans une semaine ! J’étais vraiment toute excitée à l’idée de pouvoir me battre et peut-être retrouver un toit et une famille. La semaine me parut me durer une éternité. Je ne dormais presque plus, pensant à chaque instant à ce qu’allait me permettre mon entrée à l’Académie. J’étais plutôt mature pour mon âge… Allais-je m’entendre avec les autres étudiants ? Bof… Cela m’importait peu en réalité. Tout ce qui comptait pour moi c’était réussir. C’était enfin le jour de l’entrée à l’Académie. Je n’avais pas dormi de la nuit. Je m’étais levée tôt le matin, histoire d’avoir une apparence convenable devant tout le monde. J’avais bien nettoyé tous mes habits, avait attaché mes cheveux,… J’étais prête 3h avant le début de la réunion. Je décidai alors d’aller faire un tour dans le village en attendant. Je marchais dans les rues, passant devant tous les magasins qui avaient ouverts leurs portes. Je regardais chaque article avec envie. Quand ce fut l’heure de partir vers l’Académie, je me retrouvai derrière un groupe de parents avec leurs enfants qui se dirigeaient eux aussi vers l’Académie. Je me sentais un peu seule, n’ayant personne pour m’accompagner… J’écoutais furtivement leurs dires. Les enfants étaient tout joyeux et n’arrêtaient pas de parler et de courir en tout sens. Je marchais toujours derrière eux, le regard fixé droit devant moi. J’avais prit l’habitude de ne pas regarder le sol, car c’est en faisant ça qu’on montrait qu’on n’avait pas confiance en soi. Il y avait énormément de monde devant les portes de l’Académie. Beaucoup de parents avec leurs enfants. Il y avait aussi des Juunins et des Chuunins. Je les regardais avec envie : ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient, partir du village en missions, s’entrainer à l’art des ninjas,… Des gens faisaient l’appel devant les portes pour désigner quels seraient les étudiants des différentes classes, ainsi que leur senseï. J’attendis avec anxiété qu’on m’appelle. On ne m’appela qu’au bout d’une longue heure. J’étais dans une classe plutôt calme. Le sensei était un Chuunin. Je rentrai dans les premières dans la classe pressée de commencer à suivre mon premier cours. Je ne connaissais rien à l’art des ninjas, il allait donc falloir que je travaille dur pour y arriver. Quand tout le monde fut rentré, je remarquai que personne ne s’était assis près de moi, et que la plupart des élèves, notamment une jeune fille aux yeux blancs, me montraient du doigt, parlant entre eux. Je n’allais sûrement pas me faire beaucoup d’amis ici non plus, mais tant pis. Je ne suis pas venue à l’Académie dans l’espoir de me faire des amis après tout ! Toute l’année, je m’entrainai dur, tous les jours, me couchant souvent très tard. J’avais développé pas mal de bonnes capacités selon mon Senseï, et j’étais une des meilleures étudiantes de toute l’Académie. J’avais appris, le premier jour de mon arrivée à l’Académie, grâce à un test avec une feuille en papier, que mon affinité principale était le Suiton, affinité très souple et facile à manier. J’aimais beaucoup l’eau, et cela m’enchantais de savoir qu’elle était ma première affinité. J’étais une des rares élèves à ne pas avoir l’affinité Katon. Mais mon affinité me donnait encore plus l’avantage sur les autres élèves ! Je crois que c’est d’ailleurs à cause de mes facilités que les autres me rejettaient. Ou peut-être était-ce parce que la jeune Hyuuga qui était dans ma classe leur avait raconté qui j’étais ? A mon avis, ce sont pour les deux raisons. J’entendais beaucoup d’étudiants, dire sur mon passage, que j’avais tué ma mère dès la naissance. L’examen tant attendu arriva enfin à l’Académie : l’examen pour devenir Genin, le premier grade ninja. J’étais vraiment pressée d’en finir, car je savais au plus profond de moi que cet examen allait être un jeu d’enfant. On m’appela après quelques élèves. J’entrai alors dans une salle et me trouvais devant 3 examinateurs. Ils me posèrent quelques questions rapides sur l’utilisation du chakra et sur d’autres trucs basiques qu’on avait apprit en cours. Puis vint le moment de la démonstration. Ils me demandèrent de créer des clones et de leur montrer ensuite une technique de métamorphose. Je m’exécutai. Je fis 4 clones, chose qui semblait les impressionner, étant donné qu’ils ne nous avaient apprit à en faire que 2. Puis, je fis ma technique de métamorphose. Contre leurs attentes, je fis appliquer la technique à mes clones. Les examinateurs, surpris, m’applaudirent alors, me remettant mon bandeau. Le fameux bandeau qui montrait mon appartenance au village de Konoha. Je pris le bandeau sans même un sourire ou une quelconque expression et me dirigeais vers la sortie. Je rentrais alors chez moi, contenant ma joie. Je me demandai alors où j’allais pouvoir attacher mon bandeau. Puis je décidai finalement de le mettre à mon cou, par-dessus mon col. Je retournai deux jours après à l’Académie. On m’avait convoquée pour l’attribution des Senseis pour chaque équipe de 3 Genins. Je n’aurais jamais imaginé me retrouver dans la même équipe que l’autre Hyuuga… Je crois que ce fut une des pires expériences de ma vie. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi cette fille me détestait autant. Dès qu’elle le pouvait, elle me faisait des remarques qui en aurait fait pleurer plus d’un. Mais je prenais un malin plaisir à ne rien montrer, gardant mon visage de marbre devant ses propos et ses injures. Durant les missions, elle faisait tout pour me mettre en danger. J’étais un peu plus maline qu’elle, et j’arrivais toujours à m’en sortir sans aucune égratignure. Notre sensei n’avait d’yeux que pour mes deux coéquipiers (si on pouvait vraiment appeler ça des coéquipiers…). Mais cela m’importait peu. Tout ce qui comptait pour moi, c’était l’adrénaline que j’avais lors des missions un peu dangereuses qui nécessitaient que je me batte. J’avais l’impression de ne vivre plus que pour me battre. Je passai rapidement l’examen Chuunin que je réussis, comme le précédent, avec les félicitations des examinateurs. J’étais la seule de mon équipe de Genin à avoir réussi l’examen, ce qui mit en rogne la Hyuuga. D’ailleurs, le jour de l’annonce des ninjas qui passaient au rang supérieur, je vis que la Hyuuga était avec un homme. Cet homme me semblait familier… Il avait lui aussi les yeux blancs. Je ne détachai pas mon regard de lui. Peut-être que j’allais enfin avoir la famille dont je rêvais tellement ? Quand la cérémonie fut terminée, la jeune Hyuuga vint vers moi, l’homme à ses côtés. Je ne montrais toujours aucune expression, bien que mon cœur, lui, battait à tout rompre. Qui était-il pour me faire autant d’effets ? J’attendis qu’un des deux Hyuuga prenne la parole. Ce fut la fille qui commença. Elle n’hésita pas à me dire que je n’avais eu que de la chance, que j’étais une moins que rien et tout le tralala qui s’en suit quand quelqu’un de jaloux, qui n’arrive pas à faire mieux que vous, vous parle. Quand elle eut fini de parler, l’homme prit la parole. Sa voix était grave, mais douce à la fois. Elle me berçait et me rappeler quelques souvenirs… Cette voix ne m’était pas inconnue ! Il se présenta alors… C’était le père de la jeune fille… Ce ne pouvait donc pas être le mien… Il me dit alors qu’il était content pour moi, et il me présenta la jeune fille comme étant ma cousine. Aaaah très chère cousine… Il m’annonça alors qu’il était ici de la part de mon très cher père, qui n’avait pas voulu faire le déplacement pour me voir. Apparemment il me souhaitait bien du courage pour la suite. J’étais plutôt furieuse en entendant ça. Il n’avait pas fait le déplacement et il ne comptait pas non plus me revoir ! Quel fumier ! Après tout ce que j’avais fait ! Je partie alors, ne laissant pas le temps à l’homme de continuer ce qu’il avait à me dire. Je ne montrais pas ma colère, mais elle était bien là, au fond de moi. Je rentrai comme une furie dans ma maison, toujours la petite cabane d’autrefois. Mais avec l’argent que j’avais gagné en missions, j’avais quelque peu amélioré l’endroit où je vivais à présent. Je ne fus pas assignée à l’Académie en tant que Sensei, mais je fus directement envoyée sur des missions difficiles. Le combat, toujours le combat… A croire que c’était ce qui me faisait vivre à présent. J’évacuais toute ma haine en combattant, ma haine étant tellement puissante, que je ne pouvais me contenir et laisser mon adversaire en vie. A cause de cela, de plus en plus de gens au village me surnommait le monstre. Je tuais avec un sang-froid redoutable. Certains m’appelaient même le démon aux yeux purs… Je maniais d’ailleurs mon Byakugan à la perfection. On m’attribua rapidement le grade d’Anbu. Je faisais des missions de plus en plus périlleuses et j’aimais ça ! Mais ça ne me suffisait plus de vivre dans un village aussi calme. Maintenant que j’avais prit goût au combat et au sang, je ne pouvais rester à Konoha. Il fallait que je trouve quelque part où aller… J’entendu alors parler d’une organisation appelée l’Akatsuki. Elle semait la terreur et le chaos sur son passage. J’aimais beaucoup écouter des choses qui avaient étaient commises par ces gens… Je décidais alors de tout faire pour qu’ils m’acceptent dans leur organisation, enchainant les meurtres des personnes qui n’arrivaient pas à me battre…
Dernière édition par Ukime Hyuuga le Dim 6 Avr - 0:45, édité 8 fois | |
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Ashura Kinkyo Juunin spécial de Konoha / Hokage
Nombre de messages : 173 Age : 32 Nindo : Redonner à ce monde, la paix qu'il merite. Date d'inscription : 12/03/2008
fiche tactique Ryos:
| Sujet: Re: Présentation d'Ukime Sam 5 Avr - 14:41 | |
| Bienvenue tout d'abord. Alors déjà, l'akatsuki tu peut y aller si tu as un bon niveau. Pour le test rp, tu le fait autre que dans ton histoire je préfère. Puis successeur de Neji hyuuga c'est pas possible parce que on en a déjà un ^^ mais tu peux être successeur de Hinata. | |
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